Archives du 11 juillet 2011
Patibulaires mais presque
Bonté divine, de telles trognes, dans la cathédrale de Tarragone.
Cloître
S’imprégner du silence, entre ombre et lumière
La maison des coquillages à Peniscola
Peniscola, bord de mer, palmiers, bétons et céramique, puis comme un cadeau, la vieille ville blottie au pied d’une citadelle, cette maison là, aussi, patiemment brodée de coquillages
le revers de la médaille
Côté pile une débauche de fleurs
le revers perd la face
ce n’est pas (une) chouette
Le jardin des rapaces, à Peniscola, malgré sa joliesse et la fraîcheur que l’on y trouve, est bien mélancolique, quelle tristesse de voir ces oiseaux de belle envergure, au vol empêché, taciturnes et immobiles, un ardent désir de fuir leur fait par moments déployer leurs ailes inutiles, dans un sinistre ballet.
Peniscola, côté pile
Ne pas regarder en arrière, les kilomètres de béton
encordé
Un rien escarpé, le chemin vers l’ermitage de Santa Lucia (Alcossebre)
L'Art de Rien 
